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FAISONS TAIRE UNE RUMEUR QUI FAIT DES RAVAGES

 En effet, circule ces derniers mois une rumeur selon laquelle l'administration fiscale d'Israël serait prête à "livrer" les français ayant investit dans l'achat de bien immobilier en Israël ou plus simplement ayant un compte en Israël. Comme l'autorise pourtant, et depuis toujours la loi israélienne, ce qu'on appelle un compte à devises étrangères, ce compte est valable pendant 30 ans. En échange de quoi, la France "livrerait" à son tour la liste des Israéliens ayant un compte numéroté en Suisse et ce malgré le secret bancaire légendaire de la Suisse, suivant une liste "donnée" par un hacker et ancien employé d'une banque Suisse.
Afin d'en savoir plus sur ce marché de dupe nous sommes allés rencontrer les premiers concernés, les banques à Tel-Aviv, peu surpris par nos questions, déjà posées par leurs propres clients. Voici leur réponse : « Il n'y a jamais eu d'accord entre Israël et la France concernant cet échange de "listes" qui reviendrait à dire que nous nous priverions de notre première source de développement : l'immobilier ? Et ceci contre une liste hypothétique de certains Israéliens ayant un compte en Suisse !
C'est simplement ridicule, cette rumeur a été lancée dans un objectif simple, pour ne pas dire simpliste, dissuader les capitaux français de quitter l'hexagone en ces temps de crise pour la Zone Euro. 
Nulle loi n'empêchera un juif d'investir en Israël, dans la mesure où Israël l’autorise, encourage cet état de fait par la loi de retour ».Nous avons insisté avec cette dernière question : « Si le fisc français vous appelle en vous donnant le nom d'un ressortissant français susceptible d'avoir un compte, ici-même, dans votre banque, quelle serait votre réponse ?» - « Ma réponse est simple, regardez : je décroche mon téléphone écoute, et raccroche, ni plus, ni moins. Nous sommes tenus par le secret bancaire et ce n'est pas la France qui changera les lois bancaires sévissant en Israël depuis sa création.
En effet, il a toujours était possible de créer un compte en Israël pour un ressortissant étranger, un touriste, de la même façon qu'il a toujours été possible d'obtenir un crédit, sous certaines conditions, pour l'achat d'un bien en Israël.
Il est donc impensable de revenir sur de telles lois sans des conséquences dramatiques pour Israël.
Nous ne sommes pas prêts de sombrer dans la crise économique que connaît la France même pour avoir les noms des Israéliens qui ont un compte en Suisse...»
(Propos recueillis par Claudine Douillet, source : Alliancefr.com)

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